Lesmédicaments qui requièrent le respect de la chaîne du froid (= conservation au réfrigérateur entre +2°C et +8°C) sont en nombre croissant. Il y a notamment les nouveaux médicaments issus de la biotechnologie qui sont très onéreux et qui sont constitués de principes actifs particulièrement sensibles. II. Introduction Medisite Lorsque l’on ne trouve pas son médicament en pharmacie, quelle est la bonne attitude à adopter ?Gilles Bonnefond * "Tout d’abord, il faut faire confiance à son pharmacien. Lui seul peut trouver une solution en appelant directement le laboratoire, en demandant à d’autres pharmaciens d’être dépanné, ou encore en clarifiant la situation avec les différents intermédiaires. Parfois il y a juste un problème de stock qui n'a rien à voir avec la pénurie les médicaments se trouvent uniquement au mauvais endroit."Peut-on acheter des médicaments dans un autre endroit qu'une pharmacie ?GB "Surtout pas ! Si vous achetez sur internet ou à l’étranger des médicaments, une fois sur deux vous aurez de la contrefaçon. Le trafic de médicaments est très en vogue, il vaut donc mieux rester prudent. D'ailleurs, sur le web, plus de 50% des sites de pharmacies sont des faux. Ils sont copiés-collés sur les sites authentiques et vous ne pouvez pas voir la différence à l'œil nu."Est-ce une bonne idée de remplacer certains médicaments par d’autres ?GB "De toute évidence, non. Chaque médicament correspond à une posologie bien particulière, les patients doivent donc garder le même traitement en cas de pénurie. La seule exception c’est les génériques qui remplacent parfaitement les médicaments d’origine."Et du côté des médicaments naturels ?GB "Elles ne permettent pas non plus de pallier le manque. Les médicaments naturels n’ont pas du tout la même efficacité. Surtout, cela peut devenir extrêmement grave pour le patient de remplacer, par exemple, son traitement anticancéreux par une huile essentielle."Comment faire alors pour ne pas subir cette pénurie ?GB "Le maître mot pour ne pas subir la pénurie est l’anticipation ! Il ne faut pas arriver le jour J à sa pharmacie en demandant son médicament alors que l’on suit un traitement chronique. Prévoyez plutôt une semaine de battement, particulièrement dans le cas où le médicament est difficile à trouver."Pensez-vous que ce phénomène va s’éterniser ?GB "Non, j’ai bon espoir que ce plan fonctionne. Le plan tel qu’il est préconisé par Agnès Buzyn est de qualité car il va obliger tous les acteurs à devenir transparent dans les pratiques. Les pharmaciens auront enfin accès à des informations. Auparavant, ce n’était pas le cas mais aujourd’hui on remet enfin de l’ordre dans ce secteur."D'après vous, quel est le plus gros challenge de ce plan ?GB "Le plus important est de réindustrialiser l’Europe en matières premières. Être dépendant de la Chine ou de l’Inde au niveau des médicaments met en risque la santé des patients. C’est un secteur économique stratégique, il faut donc le réinvestir, tout en redonnant confiance à chaque maillon de la chaîne. Il est primordial que l'intérêt économique passe en second par rapport à l'intérêt du patient celui-ci est trop souvent oublié."Un dernier conseil ?GB "Ne faites pas de stocks de médicaments, cela ne sert à rien. La délivrance des médicaments est mensuelle, au-delà ce n’est pas remboursable, et en plus cette pratique aggrave la pénurie. Il faut penser aux autres et rester raisonnable."* Gilles Bonnefond, pharmacien titulaire à Montélimar, est également membre fondateur de l’USPO depuis 2001. Il entame son second mandat à la tête du NewsletterRecevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de adresse mail est collectée par pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.
Siles risques de surdosage avec ce type de produit sont nuls, il existe néanmoins certaines restrictions le concernant. En effet, l’huile de CBD est déconseillée aux enfants de moins de 12 ans. Les femmes enceintes ou allaitantes doivent également éviter d’en consommer. Les conseils d’utilisation de l’huile à 30 % de CBD. Si vous souhaitez consommer de l’huile à 30 % de CBD
L'ANSM alerte une nouvelle fois sur les dangers quant au surdosage du Paracétamol - Joel Robine - AFP"Ces médicaments sont sûrs et efficaces lorsqu’ils sont correctement utilisés, mais présentent des risques lors d’une utilisation inadéquate", prévient l' National du Médicament ANSM a annoncé mardi que les médicaments contenant du paracétamol et certains anti-inflammatoires non stéroïdiens ibuprofène et aspirine ne seraient plus en vente libre dans les pharmacies à partir du 15 janvier 2020. Il faudra demander conseil au pharmacien pour en obtenir. En cause, des risques de surdosages pour ces produits "les plus utilisés en automédication", explique l'ANSM dans son communiqué. "Ces médicaments sont sûrs et efficaces lorsqu’ils sont correctement utilisés, mais présentent des risques lors d’une utilisation inadéquate", continue l'Agence. Dans son communiqué, l'ANSM publie donc également des recommandations accompagnant la prise de paracétamol et d'anti-inflammatoires non stéroïdiens AINS.Prendre les AINS "à dose minimale"L'ANSM conseille de prendre les AINS à dose minimale et pendant la plus courte durée possible, soit "d'arrêter le traitement dès la disparition des symptômes". Il ne faut pas non plus le prolonger au-delà de trois jours en cas de fièvre, cinq en cas de est également préférable "d'éviter les AINS en cas de varicelle", "ne pas prendre deux médicaments AINS en même temps" et il est contre-indiqué d'en prendre à partir du 6e mois de grossesse. Prendre du paracétamol "le moins longtemps possible"En cas de douleur ou de fièvre, il faut "prendre la dose la plus faible, le moins longtemps possible" de paracétamol, écrit l'ANSM. Ce qui signifie bien entendu respecter les doses maximales, les intervalles entre chaque prise et la durée maximale de traitement "3 jours en cas de fièvre, 5 jours en cas de douleur, en l’absence d’ordonnance".L'Agence du médicament souligne aussi qu'il faut vérifier la présence de paracétamol dans les autres médicaments pris, et alerter certaines populations particulièrement sensibles à ses effets. Les personnes de moins de 50kg, ou celles souffrant d'une "insuffisance hépatique légère à modérée, d'une insuffisance rénale sévère, d'un alcoolisme chronique…".D'ici quelques mois, l'ANSM compte agir d'avantage à propos du paracétamol, avec la présence "d’un message sur les boîtes des médicaments contenant du paracétamol afin d’alerter sur le risque pour le foie en cas de surdosage". "Avec une consommation normale, il est un médicament sûr et efficace. Mais en surdosage, il est la première cause de greffe hépatique d'origine médicamenteuse", alertait le patron de l'ANSM cet été. Intoxicationmédicamenteuse. Une Intoxication médicamenteuse est une intoxication causée par un ou plusieurs médicaments. Elle peut être volontaire, dans le cadre d'une tentative de suicide, ou accidentelle. Dans ce dernier cas, elle concerne principalement les enfants et les personnes âgées. Les animaux domestiques sont eux aussi
L’ingestion de certaines substances médicaments, produits ménagers, etc. peut causer une intoxication. Pour aider une personne qui en est victime, il faut agir selon la gravité de la situation. Les intoxications par voie orales peuvent être évitées grâce à certaines précautions. Comment reconnaître une intoxication par voie orale après ingestion de produit toxique ? Une intoxication par voie orale est la conséquence de l'action nocive sur l'organisme d'une substance introduite par la bouche. L'ingestion de ce produit toxique peut être accidentelle ou volontaire en cas de tentative de suicide. Cette substance peut être d'emblée toxique ou le devenir en fonction de la quantité qui aura pu pénétrer dans l'organisme. Le plus souvent, l'ingestion du produit toxique est constatée rapidement, avant que des symptômes n'apparaissent. Il faut agir vite, même en l'absence de symptômes. Si l'ingestion du produit toxique est passée inaperçue, il faut penser à une intoxication devant toute anomalie qui survient brutalement et sans explication, par exemple une diminution de la conscience, une confusion, une perte de connaissance, un comportement ou des mouvements anormaux ; des difficultés à respirer ; des pupilles rétractées ou dilatées ; des douleurs abdominales, des vomissements, une diarrhée ; des brûlures ou une irritation au niveau de la bouche ; des douleurs en avalant lors de la déglutition ; un écoulement de salive par la bouche, etc. Ces symptômes évoquent d'autant plus une intoxication s'il existe une odeur d'alcool ou de produits ménagers sur la peau ou dans l'haleine ; une consommation récente d'aliments inhabituels ou suspects ; la présence de boites vides de médicaments, laissant supposer une prise multiple de ces produits ; la présence d'un flacon ou d'une boite de produit chimique ouverts eau de javel ou pesticide, par exemple. Il faut alors agir rapidement pour éviter ou limiter l'aggravation, liée au contact du produit ou à son passage dans le sang par absorption au niveau du tube digestif. Produits toxiques les plus fréquemment ingérés Les produits toxiques les plus souvent avalés Il s'agit de médicaments le plus souvent en cas de tentative de suicide ; de produits ménagers eau de Javel, produit nettoyant, lessive... ; de produits de bricolage et industriels colle, peinture... ; de produits cosmétiques dissolvant, parfum... ; d'aliments avariés, de plantes et de champignons ; de produits agricoles engrais, pesticides, raticide comme le blé empoisonné, désherbants... ; de produits pétroliers essence... ; d'alcool phénomène de binge-drinking ou absorption d’alcool épisodique mais très importante au moins 60 g d’alcool en une seule occasion de plus en plus fréquente chez les adolescents. En français, on parle de "conduite d’alcoolisation aiguë", de "recherche d’ivresse" ou, plus familièrement, de "défonce" ou de "cuite" ; de drogues. Les particularités des intoxications orales selon l'âge Chez l'enfant Les intoxications sont la 2ème cause d'accidents de la vie courante, la 1ère étant les traumatismes. Dans 85 % des cas, elles surviennent surtout avant 4 ans et sont accidentelles. Ces intoxications sont essentiellement dues à l'ingestion de médicaments, de produits ménagers et de bricolage. Attention aux dosettes de lessive Les dosettes de lessive liquide attirent les enfants par leur couleur. Comme elles sont petites, ils peuvent les attraper facilement. Leur enveloppe soluble dans l'eau se dissout quand l'enfant les met à la bouche. Leur liquide est très agressif pour la peau et les muqueuses. Chez l'adolescent et l'adulte Les intoxications orales peuvent être volontaires tentative de suicide ou accidentelles champignons, drogue, alcool, par exemple. Intoxications orales graves par usage détourné et dangereux de médicaments par l'adolescent et l'adulte jeune Des médicaments antitussifs à base de codéine et des médicaments ajoutés à un soda, constituent une boisson appelée "purple drank", consommée à des fins récréatives. Son usage est de plus en plus fréquent chez des adolescents ou des jeunes adultes et est responsable de graves intoxications aiguës avec somnolence, agitation, troubles du comportement et crises convulsives. Chez la personne âgée Les intoxications sont souvent involontaires et dues à des médicaments erreur de dosage, confusion entre les produits, erreur au cours d'une automédication. Pour limiter ce risque, l'utilisation d'un pilulier est pratique et conseillée. Avant toute prise d'un nouveau médicament, il est important de demander l'avis de son médecin ou de son pharmacien. Que faire après ingestion d'un produit toxique ? Face à une ingestion d'un produit toxique, il est important d'évaluer la gravité de la situation, de connaître les gestes à faire et à ne pas faire avant d'appeler les urgences ou le centre antipoison. La gravité d’une intoxication par voie orale dépend de l’état de conscience de la personne qui en est victime. Quels sont les gestes à faire lorsqu'une personne a avalé un produit toxique ? Si la personne est inconsciente Appelez le numéro d'urgence médicale en composant le 15 ou le 112. Au téléphone, le médecin régulateur pose des questions pour évaluer l'état médical de la personne. Lorsque vous êtes en communication avec le médecin régulateur parlez calmement et clairement ; donnez votre numéro de téléphone ; donnez votre nom et celui du malade ; indiquez le lieu et l'adresse exacte, ainsi que l'étage et le code d'accès éventuel ; décrivez le plus précisément possible les signes qui vous ont alerté, l'heure de début, le mode d'installation des symptômes et leur évolution disparition, stabilisation, aggravation ; ne raccrochez pas avant que votre interlocuteur ne vous le demande. Le médecin régulateur peut avoir besoin d'autres renseignements ou peut vous donner des directives, par exemple sur les gestes à pratiquer dans l'attente de l'équipe médicale mobile. Le centre 15 se chargera également de prévenir le service d'accueil de l'hôpital si une hospitalisation est envisagée. Mettez la personne en position latérale de sécurité tournez-la sur le côté, la tête légèrement plus basse que le corps pour permettre à sa salive de s'écouler, ou pour l'empêcher de s'étouffer, en cas de vomissements. Position latérale de sécurité Si la personne est consciente Appelez le centre antipoison le plus proche de votre domicile, même en l'absence de symptômes, ceux-ci pouvant n'apparaître que dans un 2ème temps. Auparavant, recueillez le plus d'informations possibles qui vous seront demandées par téléphone et rassemblez les emballages de médicaments, les notices, les bouteilles ou les boites qui peuvent avoir contenu les substances toxiques. Dans tous les cas, préparez-vous aux questions que vous posera le centre antipoison ou le Samu et donnez le plus de détails possibles l'âge, le poids, la taille de la personne concernée et ses maladies éventuelles ; les circonstances de l'intoxication volontaire ou accidentelle ; le ou les produits ingérés nom et quantité et la quantité absorbée souvent difficile à déterminer ; l'heure de l'intoxication et sa durée ; les éventuels symptômes anormaux présentés par la personne intoxiquée vomissements, transpiration importante, douleurs abdominales, convulsions, etc. Si la personne doit être transférée à l'hôpital, emportez le reste de produit, les emballages, les étiquettes, les notices ; les restes de plantes, de nourriture et de champignons suspects. La cause de l'intoxication pourra ainsi être plus facilement déterminée. Numéros d’urgence 24 h/24 - 7j/7 des centres antipoison ANGERS 02 41 48 21 21 BORDEAUX 05 56 96 40 80 LILLE 08 00 59 59 59 LYON 04 72 11 69 11 MARSEILLE 04 91 75 25 25 NANCY 03 83 22 50 50 PARIS 01 40 05 48 48 TOULOUSE 05 61 77 74 47 Quels sont les gestes à ne pas faire en cas d'ingestion d'un produit toxique ? Ne faites pas boire à la personne du lait car ses matières grasses pourraient accélérer l'absorption du produit ingéré ; de l'eau qui pourrait faire mousser un produit détergent ingéré. Ne faites pas vomir la personne concernée cela peut être dangereux car le produit s'il est caustique peut brûler l'œsophage et la bouche une deuxième fois lors du vomissement. Ne laissez pas la personne sans surveillance et ne la transportez pas de votre propre initiative. Les précautions à prendre pour éviter les intoxications par voie orale Les intoxications par voie orale devraient être très rares car la plupart peuvent être évitées en prenant quelques précautions simples. Respectez les modes d'emploi des produits toxiques, produits ménagers, produits de bricolage, . Conservez les produits dans leur emballage d'origine et ne les transvasez pas dans un autre contenant. Gardez hors de la portée des enfants les produits potentiellement dangereux et si possible, dans un placard fermant à clés. Soyez vigilant lorsque vous utilisez un produit toxique veillez à éloigner votre enfant. Expliquez-lui les risques encourus en cas d'ingestion d'un produit toxique et apprenez-lui la signification des pictogrammes sur les étiquettes. Mettez vos médicaments dans une armoire à pharmacie en hauteur, fermée à clé. Ne laissez pas de médicaments dans un sac à main ou une sacoche, sur une table à la portée d'un enfant. Ne laissez pas sur un lavabo ou une table à langer des produits de soins crème hydratante, éosine, dissolvant et parfum en accès facile pour un enfant. Rangez-les dans un placard en hauteur. Faites comprendre à votre enfant que les médicaments ne sont faits que pour soigner et ne sont donnés que par un adulte. Respectez les doses prescrites de médicaments et ne prenez pas de nouveau médicament sans l'avis de votre médecin ou de votre pharmacien. Conservez les médicaments dans leur boite d'origine avec le dispositif d'administration seringue, pipette, cuillère-mesure, compte-goutte. Pour faciliter la prise de vos des médicaments sans erreur, pensez à l'utilisation d'un pilulier, pratique pour ne pas oublier de prendre un médicament ou au contraire le prendre 2 fois, mais mettez ce pilulier hors de portée des enfants. Ne rompez pas la chaîne du froid ne recongelez pas un aliment décongelé ; respectez les conditions de température de stockage et vérifiez celles-ci en fonction des zones de votre réfrigérateur. Respectez les durées maximales de stockage des denrées, tant dans le réfrigérateur que dans le congélateur ainsi que leur date limite de consommation. Jetez toute boîte de conserve bombée ou dont le contenant présente à l’ouverture un aspect ou une odeur inhabituels. Ne conservez pas le contenu d'une boite de conserve ouverte dans la boite d'origine, mais transvasez-le dans un récipient non métallique. Si vous cueillez des champignons, ne ramassez que ceux que vous connaissez bien et transportez-les dans un panier et non dans un sac plastique, sans mélanger les espèces un champignon vénéneux peut contaminer les autres. Mangez des champignons encore jeunes et faites-les bien cuire. Si vous avez un doute sur une espèce, montrez les champignons à votre pharmacien et si le doute persiste, jetez-les. Ne laissez pas seul votre petit enfant dans un jardin ou un espace de plein air dans lequel sont présents des arbustes à baies et feuilles toxiques cotonéaster, laurier-cerise, arum... ou des champignons de pelouse souvent nocifs. Ne mélangez pas alcool et médicaments et évitez la consommation d'une quantité importante d'alcool sur une courte durée. N° d’Urgence Médicale Samu 15 Pompiers 18 Appel d'urgence européen 112 Ces numéros sont gratuits et peuvent être appelés d'un téléphone fixe ou d'un téléphone mobile même bloqué ou sans crédit. Centre Antipoisons Belge. Intoxications. Site internet Centre Antipoisons Belge. Bruxelles ; 2021 [consulté le 7 mars 2022] Collège National des Pédiatres Universitaires. Intoxications aiguës chez l'enfant. ECN 2020. 8è édition Elsevier Masson Collège national des enseignants de réanimation. Diagnostic et prise en charge des intoxications aiguës. ECN 2018. 5è édition Elsevier Masson Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé. Usage détourné de médicaments antitussifs et chez les adolescents et les jeunes adultes - Point d'Information. Site internet ANSM. Saint-Denis La Plaine France ; 2016 [consulté le 7 mars 2022] Association des centres antipoison et de toxicovigilance CAPTV. Que faire en cas d'accident ? Site internet CAPTV. Paris [consulté le 7 mars 2022] Centre hospitalier universitaire de Toulouse. Centre Antipoison et de Toxicovigilance. Conseils pratiques en cas d'intoxication. Site internet CHU Toulouse ; 2020 [consulté le 7 mars 2022] Étiquettes de produits chimiques attention, ça change ! Alcool info serviceDrogues info service Perte de connaissance Crise suicidaire agir avant la tentative de suicide Les interactions possibles de certains aliments, boissons ou du tabac avec les médicaments Se soigner seul avec l’automédication
Sivous ressentez des effets secondaires sévères, contactez votre médecin qui pourra vous prescrire un autre bêta-bloquant plus adapté à votre cas. Que dois-je faire si je fais un surdosage de bisoprolol ? Si vous pensez avoir pris une surdose de bisoprolol, contactez votre médecin. Il sera en mesure d'évaluer correctement la situation
Par Nicolas Authier, Médecin psychiatre et pharmacologue, Professeur de médecine, Inserm 1107, Fondation Analgesia, Université Clermont Auvergne et CHU Clermont-Ferrand., Université Clermont AuvergnePublié le 13/04/2020 à 13h48Mis à jour le 13/04/2020 à 14h07 En cas d'infection par le coronavirus, faut-il changer ses habitudes en matière de médicaments ? Des experts indépendants du médicament répondent à quelques questions fréquentes. Asthme, diabète, hypertension artérielle, vaccination… Depuis le début de la pandémie de Covid-19, les patients et les professionnels de santé se posent de nombreuses questions sur l'usage de médicaments pour traiter soit l'infection elle-même et ses symptômes, soit d'autres maladies préexistantes. La communauté des spécialistes du médicament de la Société française de Pharmacologie et Thérapeutique s'est mobilisée pour proposer aux Français des réponses sur le bon usage des médicaments qui pourraient présenter des interactions sur le Covid-19 et son évolution, sur la pertinence de maintenir certains traitements chroniques et sur la question très débattue de l'usage de l'hydroxychloroquine. Que faire en cas de fièvre ? L'usage quotidien des gels hydroalcooliques est-il risqué ? Doit-on encore se faire vacciner ? Voici les j'ai de la fièvre, quel médicament puis-je prendre ?La fièvre est un mécanisme de défense en cas d'infection. Si la température corporelle n'est pas inconfortable, on peut ne pas prendre de médicament pour la faire diminuer, il est conseillé de s'aérer, de se découvrir ou de se rafraîchir. Pendant l'épidémie de Covid-19, si le recours aux médicaments s'avère nécessaire pour faire baisser la fièvre, il est recommandé d'utiliser en première intention le paracétamol Doliprane, Efferalgan, Dafalgan et leurs génériques. Ce médicament est un antalgique il combat la douleur et un antipyrétique il diminue la fièvre.Attention au paracétamol il peut entraîner des réactions allergiquesLes anti-inflammatoires non stéroïdiens Ibuprofène, Kétoprofène, Diclofénac et leurs génériques sont déconseillés car ils pourraient réduire la réaction de l'organisme contre les infections, et potentiellement avoir un effet aggravant dans certaines situations. Ils sont donc déconseillés en cas de fièvre pendant l'épidémie du toutefois en ce qui concerne le paracétamol s'il est généralement bien toléré, il peut arriver qu'il entraîne des réactions allergiques. En cas allergie avérée au paracétamol la prise ultérieure est bien entendu contre-indiquée. Dans un tel cas, si la fièvre est mal tolérée, il est recommandé de prendre contact avec son médecin traitant ou son ailleurs, l'absence d'effet du paracétamol ne doit pas entraîner une augmentation des doses de paracétamol au-delà de 3 grammes par jour chez un adulte en automédication. En effet, cette molécule est toxique pour le foie en cas de point important s'il permet de traiter les symptômes liés au COVID-19, le paracétamol n'a pas de propriétés antivirales. Il ne permet donc en aucun cas d'éviter une infection par le coronavirus SARS-CoV-2 .L'usage régulier de solutions hydroalcooliques est-il dangereux ?L'utilisation des solutions hydroalcooliques s'est très largement répandue depuis le début de l'épidémie à coronavirus. Certaines personnes ont exprimé leur inquiétude concernant d'éventuels effets délétères qui pourraient résulter de l'emploi répété de ces ces solutions sont considérées comme bien tolérées y compris chez l'enfant . Il faut en revanche éviter que l'enfant porte ses mains à la bouche après application de la solution. Il est conseillé de lui laver les mains au savon dès que ce qui concerne les femmes enceintes, la sécurité d'emploi des gels hydroalcooliques n'a pas été évaluée spécifiquement . Cependant, les études disponibles réalisées sur des populations de professionnels, dans des conditions d'utilisation intensive, montrent que la présence d'éthanol est extrêmement faible, voire quasi nulle. L'absorption d'alcool par la peau ou par inhalation des vapeurs est extrêmement faible voire indétectable même après des applications qu'il en soit, le lavage des mains est préconisé en première intention dès lors qu'un point d'eau potable est disponible, réalisé avec un savon les savons liquides sont à privilégier. Il faut alors respecter un temps de lavage minimum de trente secondes, bien rincer et sécher les mains avec des essuie-mains ou serviettes continuer les vaccinations ?L'épidémie de Covid-19 risque de perdurer plusieurs mois et le retard des vaccinations contre la coqueluche ou les méningites dans la première année de vie, mais aussi de la rougeole, pourrait avoir de graves conséquences plus tard. Il existe un consensus pour maintenir chez l'enfant l'ensemble des vaccins n'y a pas de risque de vacciner les enfants en cette période contre la rougeole, les oreillons et la rubéoleIl n'y a pas de risque de vacciner les enfants en cette période contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Il est donc recommandé de poursuivre les vaccinations prévues dans le calendrier vaccinal .Si vous deviez être vaccinée contre le pneumocoque, il n'y a pas lieu de reporter l'injection non plus. Il faut cependant garder à l'esprit que les vaccins contre les infections à pneumocoque ne protègent en aucun cas contre le SARS-CoV-2. Ces vaccins sont à réserver pour les patients à risque, tel qu'ils sont définis dans les recommandations officielles personnes immunodéprimées, atteintes de maladies cardiovasculaires ou broncho-pulmonaires, mieux vaut rappeler que la vaccination contre la grippe ne protège pas du SARS-CoV-2 . Il n'existe pas à l'heure actuelle de vaccin contre ce virus, même si des recherches sont en se traiter avec de l'hydroxychloroquine ?L'hydroxychloroquine est aujourd'hui indiquée dans certaines maladies auto-immunes telles que le lupus ou la polyarthrite rhumatoïde. Son intérêt dans le cadre de la pandémie actuelle fait depuis plusieurs semaines l'objet de vifs s'agit d'un médicament dit à marge thérapeutique étroite», ce qui signifie que la dose efficace et la dose toxique sont relativement proches. Il est donc essentiel de bien respecter les modalités d'utilisation de ce médicament pour éviter l'apparition d’ effets indésirables graves , notamment certaines hypothèses, l'hydroxychloroquine pourrait présenter un intérêt dans la diminution de la charge virale quantité de virus dans un volume de fluide donné – sang, sperme, salive, etc.. Cependant sa place dans la stratégie thérapeutique du Covid-19 n'est pas encore définie. Il est donc prioritairement déconseillé de prendre de l'hydroxychloroquine sans prescription médicale, ni surveillance spécifique réalisation préalable d'un électrocardiogramme et d'un dosage de la kaliémie .Un décret du 25 mars 2020 a autorisé l'instauration de ce traitement dans le cadre de la pandémie de Covid-19, mais uniquement en milieu hospitalier . Plusieurs essais cliniques sont en cours pour évaluer la pertinence de cette les traitements inutilesIl est important de ne pas consommer de traitements médicamenteux qui pourraient être associés à une perte de chance», c'est-à-dire à la disparition d'une éventualité favorable de guérir d'éviter un risque de complication ou retarderaient la mise en œuvre d'une thérapeutique il n'y a aucune donnée qui permette de conclure que les vitamines ou les oligo-éléments protègent de la maladie COVID-19 ou peuvent la ailleurs, aucune donnée scientifique ne permet de démontrer l'efficacité de l’ homéopathie , quelle que soit la spécialité et qu'elle soit en lien ou non avec l'épidémie du COVID-19.Enfin, concernant l'utilisation d’ huiles essentielles , il n'existe pas à l'heure actuelle de preuve de leur action sur le SARS-CoV-2, notamment lorsque celles-ci sont pulvérisées ou diffusées dans l' en savoir plus La foire aux questions proposée par la société française de pharmacologie et thérapeutique , dont les réponses sont validées, en l'état actuel des connaissances scientifiques, par des experts indépendants du Authier est administrateur de la Fondation de recherche contre la douleur "Institut Analgesia" et membre du Collège scientifique de l'OFDT. Il préside le Comité Scientifique Temporaire de mise en place de l'expérimentation du cannabis médical en France de l’ que les coronavirus font à notre corps
Ilest important de savoir à quoi sert la vitamine D avant d'ingérer des médicaments. Une prise de sang prescrite par le médecin évaluera le besoin de l'organisme à être supplémenté. Le taux en vitamine D dans le sang doit se situer entre 30 et 45 ng/mL. En cas de carence en vitamine D, le médecin prescrit un supplément. Opioïdes Surdosage Naloxone Fentanyl Stigmatisation Les actions du Canada Parler de la drogue Obtenez de l'aide Obtenez les faits Les opioïdes affectent la partie de votre cerveau qui contrôle la respiration. Si vous prenez plus d’opioïdes que ce que l’organisme peut supporter surdosage, votre respiration ralentira. Cela peut entraîner la perte de connaissance ou même la mort. Apprenez-en plus sur les signes et les symptômes d’un surdosage et sur la façon d’obtenir de l’aide. Sur cette page Surdosage d’opioïde Qui s’expose au risque de faire un surdosage d’opioïdes? Signes et symptômes d’un surdosage d’opioïdes Comment réagir à un surdosage d’opioïdes Atténuez les risques Obtenez de l’aide Surdosage d’opioïde Les opioïdes affectent la partie de votre cerveau qui contrôle la respiration. Si vous prenez plus d’opioïdes que ce que l’organisme peut supporter surdosage, votre respiration ralentira. Cela peut entraîner la perte de connaissance ou même la mort. Qui s’expose au risque de faire un surdosage d’opioïdes? Quiconque utilisant des opioïdes prescrits ou vendus dans la rue s’expose au risque de faire un surdosage, mais certains facteurs augmentent le risque tel que de prendre des opioïdes sur ordonnance plus souvent ou à des doses supérieures à ce qui est recommandé de prendre des opioïdes avec de l’alcool ou des sédatifs, comme les somnifères les relaxants musculaires les benzodiazépines de s’injecter des drogues de prendre un opioïde auquel l’organisme n’est pas habitué ou de prendre une drogue plus puissante de prendre des doses supérieures à ce à quoi vous êtes habitué d’utiliser des drogues dont le degré de pureté ou la puissance est inconnue l’état de santé, comme une maladie du cœur, une maladie du foie ou du rein, des problèmes respiratoires Un surdosage peut également se produire si vous faites un mauvais usage des opioïdes. Par exemple, les comprimés à libération prolongée sont censés être avalés en entier. Le fait de les écraser ou de les briser avant de les prendre peut entraîner un surdosage quand une trop grande quantité d’opioïdes se trouve libérée à la fois. La puissance et la nature des opioïdes disponibles dans la rue restent indéterminées et peuvent varier. Cela peut accroître le risque de surdosage et de mort. Des opioïdes très puissants appelés fentanyl et carfentanil peuvent s’avérer particulièrement dangereux, car ils peuvent être fatals même à très petite dose peuvent être mélangés aux drogues de la rue ou être vendu en tant que drogues de la rue telles que l’héroïne la cocaïne les médicaments d’ordonnance contrefaits comme l’oxycodone Signes et symptômes d’un surdosage d’opioïdes Reconnaître les signes et les symptômes d’un surdosage, y compris la difficulté à marcher parler rester éveillé les lèvres ou les ongles bleus les pupilles très petites la peau froide et moite des étourdissements et de la confusion une somnolence extrême des bruits de suffocation, des gargouillements ou des ronflements une respiration lente, faible ou inexistante l’incapacité à se réveiller, même si la personne est secouée ou qu’on lui crie après Comment réagir à un surdosage d’opioïdes Si vous pensez vous trouvez devant une personne en train de faire un surdosage, appelez tout de suite le 9-1-1 ou la ligne d’aide d’urgence locale. Donnez à la personne de la naloxone si vous en avez à votre disposition. La naloxone est un médicament qui peut renverser temporairement les effets d’un surdosage si elle est administrée immédiatement. Vous pouvez donner la naloxone en attendant l’arrivée de l’aide médicale. Un surdosage constitue toujours une urgence. Même dans le cas où quelqu’un a pris de la naloxone, les effets de celle-ci peuvent se dissiper avant que la personne ne se soit complètement remise du surdosage. Certaines personnes pourraient également avoir besoin de plus d’une dose. Appelez les secours en tout temps. Suivez les instructions dans votre trousse de naloxone ainsi que celles du téléphoniste du service 9-1-1 ou de la ligne d’aide d’urgence locale. Atténuez les risques Si vous avez recours aux opioïdes, vous pouvez réduire le risque de surdosage entraînant la mort en n’en consommant pas seul connaissant votre niveau de tolérance la dose limite que vous pouvez prendre ayant à votre disposition une trousse de naloxone et en sachant comment l’utiliser prenant une petite dose d’opioïdes d’abord pour en vérifier la puissance ne prenant pas d’opioïdes avec de l’alcool ou d’autres médicaments sauf indication contraire Obtenez de l’aide Êtes-vous préoccupé par la consommation de drogues ou vous trouvez-vous aux prises avec des problèmes liés à la consommation de drogues? Est-ce qu’un de vos proches est aux prises avec des problèmes liés à la consommation de drogues? Vous pouvez obtenir de l’aide, que ce soit pour vous, pour un ami ou un pour proche. Ainsi l'Afssaps a fait savoir que les médicaments tel que le Di-Antalvic pourrait être retirés du marché dès 2011 tandis que l'Agence demande aux

La mort de Naomi Musenga serait liée à un surdosage en paracétamol. L'occasion de faire un point sur le bon usage et les risques de ce médicament omniprésent dans nos armoires à pharmacie, mais pas si anodin. Les éléments médicaux connus sont encore peu nombreux, mais des explications sur la mort de Naomi Musenga commencent à être rendus publics. Le procureur en charge du dossier a souligné auprès de l'AFP avoir pu évoquer avec plusieurs membres de la famille de la jeune femme "les éléments médicaux obtenus, lesquels expliquent le décès de Naomi Musenga comme étant la conséquence d'une intoxication au paracétamol absorbé par automédication sur plusieurs jours". "La destruction évolutive des cellules de son foie a emporté une défaillance de l'ensemble de ses organes conduisant rapidement à son décès", a ajouté le procureur. Le Doliprane, composé de paracétamol, arrive en tête des médicaments les plus consommés en France. Comment le prendre en toute sécurité ? Le point avec le Pr Bruno Mégarbane, chef de service de réanimation médicale toxicologique à l’hôpital Lariboisière, à Paris. Quelles sont les doses de paracétamol à ne pas dépasser ? 3 à 4 g par jour, à raison de 1 g par prise maximum. Un délai de 6 à 8 heures est à respecter entre chaque prise. A noter que plusieurs médicaments en vente libre dans les pharmacies d’officine contiennent du paracétamol notamment associés à de la codéine ou à des vasoconstricteurs. Que se passe-t-il dans l’organisme en cas de surconsommation de paracétamol ? Si le paracétamol est pris aux doses journalières recommandées, tout se passe bien. "La molécule est métabolisée par le foie et éliminée, explique le Pr Mégarbane. En revanche, s'il est consommé en excès, le médicament suit une autre voie de métabolisation qui aboutit à un intermédiaire toxique. Cet intermédiaire va s’accumuler dans le foie et entraîner la destruction des cellules hépatiques." Si rien n’est fait, le foie ne peut plus remplir ses fonctions - Il ne parvient plus à filtrer les toxines qui viennent de l’intestin et les laissent parvenir au cerveau, qui s’en trouve perturbé. La personne intoxiquée déclare une encéphalite hépatique. - Puis, il ne réussit plus à synthétiser les facteurs de la coagulation et expose le patient à un risque d’hémorragie massive. Quels sont les symptômes d’une intoxication au paracétamol ? Les symptômes apparaissent à distance quelques jours de la ou des prises, le temps que le produit de dégradation toxique s’accumule dans le foie. "Les premiers symptômes sont éventuellement des maux de ventres et des nausées, souligne le médecin. Puis, en cas d'encéphalite hépatique, la personne présente des signes neurologiques, une somnolence, une confusion…" Quels sont les risques si aucun traitement n’est administré ? Sans prise en charge, la conséquence majeure d’un surdosage au paracétamol est l’hépatite toxique peu de cellules sont détruites, ce qui est sans répercussion clinique. Mais si plus de cellules du foie sont tuées, il est possible de mourir d’un surdosage en paracétamol le paracétamol a une toxicité dose-dépendante. Quelles sont les doses dangereuses ? Elles dépendent des capacités du foie de chacun. "Plus un foie est malade, plus le paracétamol est dangereux", note le Pr Mégarbane. Il n’est pas possible de donner de valeurs-seuil, mais la littérature scientifique fait état de cas d’hépatites et décès chez des personnes malades du foie à partir de 8 g/ jour soit l'équivalent d'une boîte. Mais au-delà de la dose en tant que telle, c'est le mode de prise qui est très important pour le pronostic. "A partir de 15 g de paracétamol/ jour, consommé en une seule prise, on estime le risque de décès, toujours sans prise en charge, à environ 1 %. Mais le fait de prendre à répétition des doses normales peut tout à fait aboutir au même processus, et même de façon plus risqué si le médicament est pris en doses de 1g, mais 15 fois de suite sur 24 ou 48 h, le risque de mourir bondit à 20%. » Le foie est plus apte à "encaisser" une forte dose unique de paracétamol, car il fait appel à des mécanismes de détoxication. Ces mécanismes sont mis en difficultés quand les prises sont répétées. Que faire en cas de surdosage ? Il est nécessaire de prendre un avis médical, même en l’absence de tout symptôme. Les problèmes apparaissent toujours au moins 24 h après le début des prises. Il existe un antidote au paracétamol. "Les médecins vont évaluer l’atteinte hépatique ou le risque d’hépato-toxicité à venir, grâce à des mesures biologiques, indique le médecin réanimateur. Ils administrent l’antidote ni nécessaire." Si les dégâts sur le foie sont déjà très sévères au moment de la prise en charge, le patient est placé sur une liste de transplantation hyper-urgente. Le paracétamol, un best-seller en pharmacie. Chronique diffusée le 12/07/2018 dans Le Magazine de la Santé.

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que faire en cas de surdosage de médicaments